Les secrets de la traduction des 151 premiers Pokémon !
Vous allez finir par le savoir, cette année, c'est le vingtième anniversaire de Pokémon. Mais avant tout ça, il a bien fallu préparer les jeux avec lesquels vous avez joué. Aux commandes de la traduction française des deux premières générations, on retrouve Julien Bardakoff, également traducteur de jeux tels qu'Ocarina of Time, ou plus récemment aux côtés d'Ubisoft.
Tu vas aller me lire dare-dare cet article-pokédex de Libé !
Le truc cool, c'est que Libération récemment mis en ligne un article-application-motismadex recensant tout ce qu'il faut savoir sur les traductions des noms des 151 premiers Pokémon. Et c'était pas toujours une partie de plaisir ! Il fallait conserver au maximum les jeux de mots, les clins d’œil, plaire à l'équipe de Game Freak, trouver un nom inédit pour pouvoir déposer la marque, et respecter la limite de dix caractères imposée par la taille de l'écran à l'époque.
La Provence dans la première génération, mais pour la sixième on oublie !
Chaque traduction a son anecdote : vous saviez que le nom japonais de Ronflex est le surnom donné à un employé un peu gros de Game Freak ? Que Scarabrute a failli s'appeler Scarabifle ? Qu'Excelangue a bel et bien le sens sur lequel vous faites des blagues, en VO ? Certaines traductions relèvent du génie, ou au contraire d'une logique si implacable qu'on n'y aurait pas pensé en voyant le nom, mais ce qu'il faut retenir, c'est qu'un travail comme celui-ci se doit d'être salué.
« "Canarticho parce que c'est rigolo" sera mon épitaphe. » - Aurablade.
Maintenant que vous vous êtes empressés d'aller lire ces belles informations, n'oubliez pas, la meilleure génération, ça reste la sixième.
Source : Article de Libération.
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