Aide aux devoirs
fcnantais91
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07 mars 2011, 11:52
Je suis loin d'être un expert en poésie, mais si tu cherches du coté de Rimbaud, ça devrait le faire
The Miz
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07 mars 2011, 11:54
De même, je suis loin d'être un expert, ce qui ne m'a pas empêché de trouver bien plus de cinq poème par une simple recherche google.
Tenshi
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07 mars 2011, 11:56
Salut. je dois faire une affiche publicitaire pour la rentré.
Vous auriez pas quelques idées de présentations ?
Thank's
Vous auriez pas quelques idées de présentations ?
Thank's
The Miz
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- 19276 posts
07 mars 2011, 11:56
Une affiche sur quoi ?
Tenshi
- Membre
- 1850 posts
07 mars 2011, 12:03
Le sujet, il est donné. On a pas le choix sur tout.
Soit sur un club de sport, un tournoi, ....
Mais on peut pas inventer un produit.
Mais c'est pas le sujet le problème.
je voulais dire quelques idées sur la présentation de mon affiche.
Comme déjà, la taille. On a le choix. Mais je vois pas la taille que je pourrais prendre.
Soit sur un club de sport, un tournoi, ....
Mais on peut pas inventer un produit.
Mais c'est pas le sujet le problème.
je voulais dire quelques idées sur la présentation de mon affiche.
Comme déjà, la taille. On a le choix. Mais je vois pas la taille que je pourrais prendre.
Boumbibthebob
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07 mars 2011, 12:19
merci, je sais, j'ai trouvé une liste assez longue de poèmes d'auteurs célébres (rimbaud, voltaire, Verlaine,Hugo, etc...), mais je voulais juste savoir si vous avez des poèmes qui vous ont marqué, et donc qui pourrait m'aider.
De même, je suis loin d'être un expert, ce qui ne m'a pas empêché de trouver bien plus de cinq poème par une simple recherche google.
merci, je sais, j'ai trouvé une liste assez longue de poèmes d'auteurs célébres (rimbaud, voltaire, Verlaine,Hugo, etc...), mais je voulais juste savoir si vous avez des poèmes qui vous ont marqué, et donc qui pourrait m'aider.
Maître Renard
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07 mars 2011, 13:34
La Chevelure de Baudelaire encore.
Ode à Cassandre de Pierre de Ronsard.
Parfum exotique de Baudelaire
le Lac de Lamartine <3
Pour Toi mon Amour, Prévert :
Je suis allé au marché aux oiseaux
Et j'ai acheté des oiseaux
Pour toi
Mon amour
Je suis allé au marché aux fleurs
Et j'ai acheté des fleurs
Pour toi
Mon amour
Je suis allé au marché à la ferraille
Et j'ai acheté des chaînes
De lourdes chaînes
Pour toi
Mon amour
Et je suis allé au marché aux esclaves
Et je t'ai cherchée
Mais je ne t'ai pas trouvée
Mon amour& Ophélie de Rimbaud m'ont personnellement marqués :
Après je peux t'en citer bien d'autre, mais cela proviendra surtout de Baudelaire, mais bon là tu dois déjà en avoir assez.
J'ai un recueil de poème à faire, sur le thème de l'amour. Je dois trouver 5 poèmes, j'en ai déjà trouver deux. Quelqu'un aurait un poème qui l'a marqué ?Hymne à la Beauté de Charles Beaudelaire <33 :
Spoiler
Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme,
O Beauté? ton regard, infernal et divin,
Verse confusément le bienfait et le crime,
Et l'on peut pour cela te comparer au vin.
Tu contiens dans ton oeil le couchant et l'aurore;
Tu répands des parfums comme un soir orageux;
Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore
Qui font le héros lâche et l'enfant courageux.
Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres?
Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien;
Tu sèmes au hasard la joie et les désastres,
Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien.
Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques;
De tes bijoux l'Horreur n'est pas le moins charmant,
Et le Meurtre, parmi tes plus chères breloques,
Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement.
L'éphémère ébloui vole vers toi, chandelle,
Crépite, flambe et dit: Bénissons ce flambeau!
L'amoureux pantelant incliné sur sa belle
A l'air d'un moribond caressant son tombeau.
Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe,
O Beauté! monstre énorme, effrayant, ingénu!
Si ton oeil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte
D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu?
De Satan ou de Dieu, qu'importe? Ange ou Sirène,
Qu'importe, si tu rends, - fée aux yeux de velours,
Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine! -
L'univers moins hideux et les instants moins lourds?
O Beauté? ton regard, infernal et divin,
Verse confusément le bienfait et le crime,
Et l'on peut pour cela te comparer au vin.
Tu contiens dans ton oeil le couchant et l'aurore;
Tu répands des parfums comme un soir orageux;
Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore
Qui font le héros lâche et l'enfant courageux.
Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres?
Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien;
Tu sèmes au hasard la joie et les désastres,
Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien.
Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques;
De tes bijoux l'Horreur n'est pas le moins charmant,
Et le Meurtre, parmi tes plus chères breloques,
Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement.
L'éphémère ébloui vole vers toi, chandelle,
Crépite, flambe et dit: Bénissons ce flambeau!
L'amoureux pantelant incliné sur sa belle
A l'air d'un moribond caressant son tombeau.
Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe,
O Beauté! monstre énorme, effrayant, ingénu!
Si ton oeil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte
D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu?
De Satan ou de Dieu, qu'importe? Ange ou Sirène,
Qu'importe, si tu rends, - fée aux yeux de velours,
Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine! -
L'univers moins hideux et les instants moins lourds?
La Chevelure de Baudelaire encore.
Spoiler
O toison, moutonnant jusque sur l'encolure!
O boucles! O parfum chargé de nonchaloir!
Extase! Pour peupler ce soir l'alcôve obscure
Des souvenirs dormant dans cette chevelure,
Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir!
La langoureuse Asie et la brûlante Afrique,
Tout un monde lointain, absent, presque défunt,
Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique!
Comme d'autres esprits voguent sur la musique,
Le mien, ô mon amour! nage sur ton parfum.
J'irai là-bas où l'arbre et l'homme, pleins de sève,
Se pâment longuement sous l'ardeur des climats;
Fortes tresses, soyez la houle qui m'enlève!
Tu contiens, mer d'ébène, un éblouissant rêve
De voiles, de rameurs, de flammes et de mâts:
Un port retentissant où mon âme peut boire
A grands flots le parfum, le son et la couleur;
Où les vaisseaux, glissant dans l'or et dans la moire,
Ouvrent leurs vastes bras pour embrasser la gloire
D'un ciel pur où frémit l'éternelle chaleur.
Je plongerai ma tête amoureuse d'ivresse
Dans ce noir océan où l'autre est enfermé;
Et mon esprit subtil que le roulis caresse
Saura vous retrouver, ô féconde paresse,
Infinis bercements du loisir embaumé!
Cheveux bleus, pavillon de ténèbres tendues,
Vous me rendez l'azur du ciel immense et rond;
Sur les bords duvetés de vos mèches tordues
Je m'enivre ardemment des senteurs confondues
De l'huile de coco, du musc et du goudron.
Longtemps! toujours! ma main dans ta crinière lourde
Sèmera le rubis, la perle et le saphir,
Afin qu'à mon désir tu ne sois jamais sourde!
N'es-tu pas l'oasis où je rêve, et la gourde
Où je hume à longs traits le vin du souvenir?
O boucles! O parfum chargé de nonchaloir!
Extase! Pour peupler ce soir l'alcôve obscure
Des souvenirs dormant dans cette chevelure,
Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir!
La langoureuse Asie et la brûlante Afrique,
Tout un monde lointain, absent, presque défunt,
Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique!
Comme d'autres esprits voguent sur la musique,
Le mien, ô mon amour! nage sur ton parfum.
J'irai là-bas où l'arbre et l'homme, pleins de sève,
Se pâment longuement sous l'ardeur des climats;
Fortes tresses, soyez la houle qui m'enlève!
Tu contiens, mer d'ébène, un éblouissant rêve
De voiles, de rameurs, de flammes et de mâts:
Un port retentissant où mon âme peut boire
A grands flots le parfum, le son et la couleur;
Où les vaisseaux, glissant dans l'or et dans la moire,
Ouvrent leurs vastes bras pour embrasser la gloire
D'un ciel pur où frémit l'éternelle chaleur.
Je plongerai ma tête amoureuse d'ivresse
Dans ce noir océan où l'autre est enfermé;
Et mon esprit subtil que le roulis caresse
Saura vous retrouver, ô féconde paresse,
Infinis bercements du loisir embaumé!
Cheveux bleus, pavillon de ténèbres tendues,
Vous me rendez l'azur du ciel immense et rond;
Sur les bords duvetés de vos mèches tordues
Je m'enivre ardemment des senteurs confondues
De l'huile de coco, du musc et du goudron.
Longtemps! toujours! ma main dans ta crinière lourde
Sèmera le rubis, la perle et le saphir,
Afin qu'à mon désir tu ne sois jamais sourde!
N'es-tu pas l'oasis où je rêve, et la gourde
Où je hume à longs traits le vin du souvenir?
Ode à Cassandre de Pierre de Ronsard.
Spoiler
Du jour que je fus amoureus,
Nul past tant soit-il savoureus
Ne vin tant soit-il delectable
Au coeur ne m'est point agreable,
Car depuis l'heure je ne sceu
Rien boire ou manger qui m'ait pleu:
Une tristesse en l'âme close
Me nourist, et non autre chose.
Tous les plesirs que j'estimois
Alors que libre je n'aimois,
Maintenant je les desestime,
Plus ne m'est plaisante l'escrime,
La paume, la chasse et le bal,
Mais come un sauvage animal
Je me pers dans un bois sauvage,
Loing de gens, pour celer ma rage.
L'amour fut bien forte poison
Qui m'ensorcela ma raison
Et qui me deroba l'audace
Que je portoi dessus la face,
Me faisant aller pas à pas,
Triste et pensif, le front à bas,
En home qui craint, et qui n'ose
Se fier plus en nule chose.
Le mal que l'on faint d'Ixion
N'aproche de ma passion.
Et mieus j'aymeroi de Tantale
Endurer la peine infernale
Un an, qu'estre un jour amoureus,
Pour languir autant malheureus,
Que j'ay fait, depuis que Cassandre
Tient mon coeur, et ne le veut rendre.
Nul past tant soit-il savoureus
Ne vin tant soit-il delectable
Au coeur ne m'est point agreable,
Car depuis l'heure je ne sceu
Rien boire ou manger qui m'ait pleu:
Une tristesse en l'âme close
Me nourist, et non autre chose.
Tous les plesirs que j'estimois
Alors que libre je n'aimois,
Maintenant je les desestime,
Plus ne m'est plaisante l'escrime,
La paume, la chasse et le bal,
Mais come un sauvage animal
Je me pers dans un bois sauvage,
Loing de gens, pour celer ma rage.
L'amour fut bien forte poison
Qui m'ensorcela ma raison
Et qui me deroba l'audace
Que je portoi dessus la face,
Me faisant aller pas à pas,
Triste et pensif, le front à bas,
En home qui craint, et qui n'ose
Se fier plus en nule chose.
Le mal que l'on faint d'Ixion
N'aproche de ma passion.
Et mieus j'aymeroi de Tantale
Endurer la peine infernale
Un an, qu'estre un jour amoureus,
Pour languir autant malheureus,
Que j'ay fait, depuis que Cassandre
Tient mon coeur, et ne le veut rendre.
Parfum exotique de Baudelaire
Spoiler
Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne,
Je respire l'odeur de ton sein chaleureux,
Je vois se dérouler des rivages heureux
Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone;
Une île paresseuse où la nature donne
Des arbres singuliers et des fruits savoureux;
Des hommes dont le corps est mince et vigoureux,
Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne.
Guidé par ton odeur vers de charmants climats,
Je vois un port rempli de voiles et de mâts
Encor tout fatigués par la vague marine,
Pendant que le parfum des verts tamariniers,
Qui circule dans l'air et m'enfle la narine,
Se mêle dans mon âme au chant des mariniers.
Je respire l'odeur de ton sein chaleureux,
Je vois se dérouler des rivages heureux
Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone;
Une île paresseuse où la nature donne
Des arbres singuliers et des fruits savoureux;
Des hommes dont le corps est mince et vigoureux,
Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne.
Guidé par ton odeur vers de charmants climats,
Je vois un port rempli de voiles et de mâts
Encor tout fatigués par la vague marine,
Pendant que le parfum des verts tamariniers,
Qui circule dans l'air et m'enfle la narine,
Se mêle dans mon âme au chant des mariniers.
le Lac de Lamartine <3
Spoiler
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges
Jeter l’ancre un seul jour ?
Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu’elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s’asseoir !
Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,
10 Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,
Ainsi le vent jetait l’écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.
Un soir, t’en souvient-il ? nous voguions en silence ;
On n’entendait au loin, sur l’onde et sous les cieux,
Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
Tes flots harmonieux.
Tout à coup des accents inconnus à la terre
Du rivage charmé frappèrent les échos ;
Le flot fut attentif, et la voix qui m’est chère
20 Laissa tomber ces mots :
« Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !
« Assez de malheureux ici-bas vous implorent,
Coulez, coulez pour eux ;
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;
Oubliez les heureux.
« Mais je demande en vain quelques moments encore,
30 Le temps m’échappe et fuit ;
Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l’aurore
Va dissiper la nuit.
« Aimons donc, aimons donc ! de l’heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive ;
Il coule, et nous passons ! »
Temps jaloux, se peut-il que ces moments d’ivresse,
Où l’amour à longs flots nous verse le bonheur,
S’envolent loin de nous de la même vitesse
40 Que les jours de malheur ?
Eh quoi ! n’en pourrons-nous fixer au moins la trace ?
Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus !
Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,
Ne nous les rendra plus !
Éternité, néant, passé, sombres abîmes,
Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes
Que vous nous ravissez ?
Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !
50 Vous, que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir,
Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
Au moins le souvenir !
Qu’il soit dans ton repos, qu’il soit dans tes orages,
Beau lac, et dans l’aspect de tes riants coteaux,
Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages
Qui pendent sur tes eaux.
Qu’il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,
Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,
Dans l’astre au front d’argent qui blanchit ta surface
60 De ses molles clartés.
Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,
Que les parfums légers de ton air embaumé,
Que tout ce qu’on entend, l’on voit ou l’on respire,
Tout dise : Ils ont aimé !
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges
Jeter l’ancre un seul jour ?
Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu’elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s’asseoir !
Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,
10 Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,
Ainsi le vent jetait l’écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.
Un soir, t’en souvient-il ? nous voguions en silence ;
On n’entendait au loin, sur l’onde et sous les cieux,
Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
Tes flots harmonieux.
Tout à coup des accents inconnus à la terre
Du rivage charmé frappèrent les échos ;
Le flot fut attentif, et la voix qui m’est chère
20 Laissa tomber ces mots :
« Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !
« Assez de malheureux ici-bas vous implorent,
Coulez, coulez pour eux ;
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;
Oubliez les heureux.
« Mais je demande en vain quelques moments encore,
30 Le temps m’échappe et fuit ;
Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l’aurore
Va dissiper la nuit.
« Aimons donc, aimons donc ! de l’heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive ;
Il coule, et nous passons ! »
Temps jaloux, se peut-il que ces moments d’ivresse,
Où l’amour à longs flots nous verse le bonheur,
S’envolent loin de nous de la même vitesse
40 Que les jours de malheur ?
Eh quoi ! n’en pourrons-nous fixer au moins la trace ?
Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus !
Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,
Ne nous les rendra plus !
Éternité, néant, passé, sombres abîmes,
Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes
Que vous nous ravissez ?
Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !
50 Vous, que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir,
Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
Au moins le souvenir !
Qu’il soit dans ton repos, qu’il soit dans tes orages,
Beau lac, et dans l’aspect de tes riants coteaux,
Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages
Qui pendent sur tes eaux.
Qu’il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,
Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,
Dans l’astre au front d’argent qui blanchit ta surface
60 De ses molles clartés.
Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,
Que les parfums légers de ton air embaumé,
Que tout ce qu’on entend, l’on voit ou l’on respire,
Tout dise : Ils ont aimé !
Pour Toi mon Amour, Prévert :
Spoiler
Je suis allé au marché aux oiseaux
Et j'ai acheté des oiseaux
Pour toi
Mon amour
Je suis allé au marché aux fleurs
Et j'ai acheté des fleurs
Pour toi
Mon amour
Je suis allé au marché à la ferraille
Et j'ai acheté des chaînes
De lourdes chaînes
Pour toi
Mon amour
Et je suis allé au marché aux esclaves
Et je t'ai cherchée
Mais je ne t'ai pas trouvée
Mon amour
Spoiler
I
Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles
La blanche Ophélia flotte comme un grand lys,
Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles...
- On entend dans les bois lointains des hallalis.
Voici plus de mille ans que la triste Ophélie
Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir
Voici plus de mille ans que sa douce folie
Murmure sa romance à la brise du soir
Le vent baise ses seins et déploie en corolle
Ses grands voiles bercés mollement par les eaux ;
Les saules frissonnants pleurent sur son épaule,
Sur son grand front rêveur s'inclinent les roseaux.
Les nénuphars froissés soupirent autour d'elle ;
Elle éveille parfois, dans un aune qui dort,
Quelque nid, d'où s'échappe un petit frisson d'aile :
- Un chant mystérieux tombe des astres d'or
II
O pâle Ophélia ! belle comme la neige !
Oui tu mourus, enfant, par un fleuve emporté !
C'est que les vents tombant des grand monts de Norwège
T'avaient parlé tout bas de l'âpre liberté ;
C'est qu'un souffle, tordant ta grande chevelure,
À ton esprit rêveur portait d'étranges bruits,
Que ton coeur écoutait le chant de la Nature
Dans les plaintes de l'arbre et les soupirs des nuits ;
C'est que la voix des mers folles, immense râle,
Brisait ton sein d'enfant, trop humain et trop doux ;
C'est qu'un matin d'avril, un beau cavalier pâle,
Un pauvre fou, s'assit muet à tes genoux !
Ciel ! Amour ! Liberté ! Quel rêve, ô pauvre Folle !
Tu te fondais à lui comme une neige au feu :
Tes grandes visions étranglaient ta parole
- Et l'Infini terrible éffara ton oeil bleu !
III
- Et le Poète dit qu'aux rayons des étoiles
Tu viens chercher, la nuit, les fleurs que tu cueillis ;
Et qu'il a vu sur l'eau, couchée en ses longs voiles,
La blanche Ophélia flotter, comme un grand lys.
Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles
La blanche Ophélia flotte comme un grand lys,
Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles...
- On entend dans les bois lointains des hallalis.
Voici plus de mille ans que la triste Ophélie
Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir
Voici plus de mille ans que sa douce folie
Murmure sa romance à la brise du soir
Le vent baise ses seins et déploie en corolle
Ses grands voiles bercés mollement par les eaux ;
Les saules frissonnants pleurent sur son épaule,
Sur son grand front rêveur s'inclinent les roseaux.
Les nénuphars froissés soupirent autour d'elle ;
Elle éveille parfois, dans un aune qui dort,
Quelque nid, d'où s'échappe un petit frisson d'aile :
- Un chant mystérieux tombe des astres d'or
II
O pâle Ophélia ! belle comme la neige !
Oui tu mourus, enfant, par un fleuve emporté !
C'est que les vents tombant des grand monts de Norwège
T'avaient parlé tout bas de l'âpre liberté ;
C'est qu'un souffle, tordant ta grande chevelure,
À ton esprit rêveur portait d'étranges bruits,
Que ton coeur écoutait le chant de la Nature
Dans les plaintes de l'arbre et les soupirs des nuits ;
C'est que la voix des mers folles, immense râle,
Brisait ton sein d'enfant, trop humain et trop doux ;
C'est qu'un matin d'avril, un beau cavalier pâle,
Un pauvre fou, s'assit muet à tes genoux !
Ciel ! Amour ! Liberté ! Quel rêve, ô pauvre Folle !
Tu te fondais à lui comme une neige au feu :
Tes grandes visions étranglaient ta parole
- Et l'Infini terrible éffara ton oeil bleu !
III
- Et le Poète dit qu'aux rayons des étoiles
Tu viens chercher, la nuit, les fleurs que tu cueillis ;
Et qu'il a vu sur l'eau, couchée en ses longs voiles,
La blanche Ophélia flotter, comme un grand lys.
Après je peux t'en citer bien d'autre, mais cela proviendra surtout de Baudelaire, mais bon là tu dois déjà en avoir assez.
Captain Awesome
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- 4579 posts
08 mars 2011, 22:23
Je sais , j'ai même fait une comparaison avec "La haine engendre la haine" (La mort n'engendre que la mort d'autre personne etc....) mais je voudrais savoir la technique de peinture , je n'ai pas trouvé...
C'est une oeuvre décrite comme étant "un visage fractal".
Je sais , j'ai même fait une comparaison avec "La haine engendre la haine" (La mort n'engendre que la mort d'autre personne etc....) mais je voudrais savoir la technique de peinture , je n'ai pas trouvé...
Boumbibthebob
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08 mars 2011, 22:31
MERCI LASTAR JTMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM
Syulwen
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- 5 posts
08 mars 2011, 22:51
A tout hasard, si certains ont des problèmes en Biologie, je peux aider
Castho
- Membre
- 29202 posts
08 mars 2011, 22:57
Raconte moi la vie.
Quartz
- Membre
- 4795 posts
08 mars 2011, 23:00
[Générique d'Il était une fois la vie]
Maître Renard
- Membre
- 230771 posts
08 mars 2011, 23:01
Nightou
Nightou
Castho
- Membre
- 29202 posts
08 mars 2011, 23:09
TELLEMENT PREVISIBLE
Maître Renard
- Membre
- 230771 posts
08 mars 2011, 23:13
C'était ce que tu attendais, jeune belge.
Castho
- Membre
- 29202 posts
08 mars 2011, 23:14
Effectivement
Syulwen
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- 5 posts
08 mars 2011, 23:15
N'empêche, JDG a raison, les virus on la tronche de Sarko !
Rond
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09 mars 2011, 00:26
Et Marine l'anticorps.
Luigi
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- 1994 posts
10 mars 2011, 18:30
Bonsoir (oui, il est 18h00, pour moi c'est le soir)
Demain j'ai interro en math sur les Ordres - Équations, et comme je suis (quasiment) foireux, j'aimerais exploiter votre expertise afin de m'aider. Voilà, pour les équations:
x + 5 = -7
Je soustrais 5, il me reste donc x = -7 -5, la solution est donc x = -12. Ai-je raison ?
De même, en inversant leurs facteurs, est-ce que j'obtient 12 ?
x/4 = 2
Je multiplie par 4, il me reste donc x = 8, la solution est donc x = 8. Ai-je raison ?
-9x = -3
Je bloque complètement ici, je perd mes moyens, mais je vais tenter de résoudre cette équation. Je divise par (-5), ça me donne x = -3 sur -5. La solution est donc x = 3/5. Ai-je raison ?
Et pour l'ordre:
x < 10, alors x + 7 < 17. Ai-je raison ?
-6 > t, alors -6t > ?. Je bloque.
Si x > 8, alors 3 + x > 11. Ai-je raison ?
Si -3 > t/5, alors t ?. Je bloque ici également.
Merci de bien vouloir m'aider
Demain j'ai interro en math sur les Ordres - Équations, et comme je suis (quasiment) foireux, j'aimerais exploiter votre expertise afin de m'aider. Voilà, pour les équations:
x + 5 = -7
Je soustrais 5, il me reste donc x = -7 -5, la solution est donc x = -12. Ai-je raison ?
De même, en inversant leurs facteurs, est-ce que j'obtient 12 ?
x/4 = 2
Je multiplie par 4, il me reste donc x = 8, la solution est donc x = 8. Ai-je raison ?
-9x = -3
Je bloque complètement ici, je perd mes moyens, mais je vais tenter de résoudre cette équation. Je divise par (-5), ça me donne x = -3 sur -5. La solution est donc x = 3/5. Ai-je raison ?
Et pour l'ordre:
x < 10, alors x + 7 < 17. Ai-je raison ?
-6 > t, alors -6t > ?. Je bloque.
Si x > 8, alors 3 + x > 11. Ai-je raison ?
Si -3 > t/5, alors t ?. Je bloque ici également.
Merci de bien vouloir m'aider
Castho
- Membre
- 29202 posts
10 mars 2011, 20:24
-9x = - 3
<=> - x = - 3/9
<=> - x = - 1/3
<=> x = 1/3 pour info.
<=> - x = - 3/9
<=> - x = - 1/3
<=> x = 1/3 pour info.
Trashy
- Invité
10 mars 2011, 21:01
Je vais essayer de t'aider (je dis bien "je vais essayer").
Ça me parait bon.
Oui
Sachant que x est strictement inférieur à 10, il ne peut valoir que 9 au maximum. Prenons donc x = 9
x + 7 < 17
=> 9 + 7 < 17
=> 16 < 17
Donc, si x < 10, alors x + 7 < 17
Oui
Sachant que x est strictement supérieur à 8, il ne peut valoir que 9 au minimum. Prenons donc x = 9
3 + x > 11
=> 3 + 9 > 11
=> 12 > 11
Donc, si x > 8, alors 3 + x > 11
Pour le reste, je ne sais pas, donc je laisse aux connaisseurs le soin de t'aider (et éventuellement de me corriger si je me suis trompé quelque part. Edualc, M@T, I see you.).
// edit : post édité pour plus de clarté.
« Modifié: 10 mars 2011, 21:59 par Trashy »
x + 5 = -7
Je soustrais 5, il me reste donc x = -7 -5, la solution est donc x = -12. Ai-je raison ?
x/4 = 2
Je multiplie par 4, il me reste donc x = 8, la solution est donc x = 8. Ai-je raison ?
Ça me parait bon.
Et pour l'ordre:
x < 10, alors x + 7 < 17. Ai-je raison ?
Oui
Sachant que x est strictement inférieur à 10, il ne peut valoir que 9 au maximum. Prenons donc x = 9
x + 7 < 17
=> 9 + 7 < 17
=> 16 < 17
Donc, si x < 10, alors x + 7 < 17
Si x > 8, alors 3 + x > 11. Ai-je raison ?
Oui
Sachant que x est strictement supérieur à 8, il ne peut valoir que 9 au minimum. Prenons donc x = 9
3 + x > 11
=> 3 + 9 > 11
=> 12 > 11
Donc, si x > 8, alors 3 + x > 11
Pour le reste, je ne sais pas, donc je laisse aux connaisseurs le soin de t'aider (et éventuellement de me corriger si je me suis trompé quelque part. Edualc, M@T, I see you.).
// edit : post édité pour plus de clarté.
Wisse
- Membre
- 405 posts
10 mars 2011, 21:11
Un truc,evite de faire le coups du je soustraie si c'est plus,dit toi que tu dois balancé le tout,tu vois x+3=8 dit toi je vias soustraire 3 des deux cotés de l'equation(-3x+3=8-3)et ça donnera donc le meme resultats mais tu verras plus tard les problemes que cela occasionnera vaec des equation en forme de probleme et avec des radicands
-9x = -3
Je bloque complètement ici, je perd mes moyens, mais je vais tenter de résoudre cette équation. Je divise par (-5), ça me donne x = -3 sur -5. La solution est donc x = 3/5. Ai-je raison ?
Simple:pour annuler une multiplication on utilise une division donc on divise par 1/-9 des deux cotés donc ça fait -9x.1/-9=-3.1/-9 ce qui donne x=-1 sur 3(attention faut ecrire en fraction on va dire differente(en claire le denominateur sous le numerateur ex:-9x au dessus et -9 en dessous pour pouvoir annuler et etre valider sinon c'ets consideré comme faux,pour le dernier t represente quoi?
-9x = -3
Je bloque complètement ici, je perd mes moyens, mais je vais tenter de résoudre cette équation. Je divise par (-5), ça me donne x = -3 sur -5. La solution est donc x = 3/5. Ai-je raison ?
Simple:pour annuler une multiplication on utilise une division donc on divise par 1/-9 des deux cotés donc ça fait -9x.1/-9=-3.1/-9 ce qui donne x=-1 sur 3(attention faut ecrire en fraction on va dire differente(en claire le denominateur sous le numerateur ex:-9x au dessus et -9 en dessous pour pouvoir annuler et etre valider sinon c'ets consideré comme faux,pour le dernier t represente quoi?
Wisse
- Membre
- 405 posts
10 mars 2011, 21:15
EDIT:le si et seulement si c'ets <=> demande avant le test à ton prof si on doit le mettre
EDIT2:on peut pas t'aider si tu demandes pas
ps:je réaide en hsitoire et dnas les autres matieres de mon niveau ^_^« Modifié: 10 mars 2011, 22:06 par wissemaster »
-9x = - 3ça passe mais une petite erreur etends donné que au numerateur et au denominateur(-9x.1/-9)il y a le signe negatif il s'annule et de l'autre coté aussi enfin le resultat finale ets le meme mais il peut perdre des point,aussi N'OUBLIE PAS LES SI ET SEULEMENT SI QUI SE METTE DEVANT CHAQUE ETAPE:<=> note toujours ça!!!!! et à chaque etape passe une ligne ne t'empresse pas
<=> - x = - 3/9
<=> - x = - 1/3
<=> x = 1/3 pour info.
EDIT:le si et seulement si c'ets <=> demande avant le test à ton prof si on doit le mettre
EDIT2:on peut pas t'aider si tu demandes pas
ps:je réaide en hsitoire et dnas les autres matieres de mon niveau ^_^
fcnantais91
- Membre
- 324 posts
12 mars 2011, 10:32
je dirais t2 (tu as multiplié a gauche par t, donc tu le fais a droite aussi), mais je suis pas sur, ça dépend surement du signe de t
Après, les corrections apportées par Trashy et Thocast me semblent justes.
Si un true matheux pouvait confirmer...
Citer
-6 > t, alors -6t > ?. Je bloque.
je dirais t2 (tu as multiplié a gauche par t, donc tu le fais a droite aussi), mais je suis pas sur, ça dépend surement du signe de t
Citer
Si -3 > t/5, alors t ?. Je bloque ici également.t<-15 (tu multiplies par 5 de chaque coté)
Après, les corrections apportées par Trashy et Thocast me semblent justes.
Si un true matheux pouvait confirmer...
Retrosasu
- Membre
- 27186 posts
16 mars 2011, 17:03
Si quelqu'un a la solution :[
"un fermier possède des moutons et des poules, il y a 40 animaux au total. Sachant qu'il y a 134 pattes dans la ferme, combien y'a t-il de animaux de chaque espèce ?".
Thx d'avance.
"un fermier possède des moutons et des poules, il y a 40 animaux au total. Sachant qu'il y a 134 pattes dans la ferme, combien y'a t-il de animaux de chaque espèce ?".
Thx d'avance.
Pierick
- Membre
- 1446 posts
16 mars 2011, 17:27
27 moutons et 13 poules
134 = x*4 + (40-x)*2
134 = 4*x + 80 - 2*x
54 = 2*x
27 = x
x est le nombre d'animaux à 4 pattes.
134 = x*4 + (40-x)*2
134 = 4*x + 80 - 2*x
54 = 2*x
27 = x
x est le nombre d'animaux à 4 pattes.
Retrosasu
- Membre
- 27186 posts
16 mars 2011, 17:40
Ok merci .
Pierick
- Membre
- 1446 posts
16 mars 2011, 18:00
de rien.
Shogunner
- Membre
- 953 posts
16 mars 2011, 19:52
SVT Première ES
Voilà j'ai volé le sujet de SVT et je n'arrive pas à faire le schéma fonctionnel. Si qqun pouvait me le faire ou m'expliquer ça serait sympa merci.
Citer
Présentez sous forme d'un schéma fonctionnel légendé le tragé du message " douloureux " ou nociceptif de sa naissance au niveau d'un récépteur de la peau jusqu'aux centres nerveux supérieurs.
Voilà j'ai volé le sujet de SVT et je n'arrive pas à faire le schéma fonctionnel. Si qqun pouvait me le faire ou m'expliquer ça serait sympa merci.
-S@M-
- Membre
- 5367 posts
16 mars 2011, 23:15
Qu'est ce que t'entends par schéma fonctionnel? et quelle doit être sa précision?
sinon, t'as le récepteur envoie un influx nerveux dans le nerf qui parvient à la moelle épinière, de la, si le stimulus est trop important, réaction réflexe, et quelle que soit l'intensite, achemination de l'influx jusqu'à l'encéphale. mais maintenant, si tu dois aussi schématiser le changement de polarité du aux échanges ioniques, puis que tu dois aussi faire le récepteur et la manière dont,il estvstimulé, ça devient long
sinon, t'as le récepteur envoie un influx nerveux dans le nerf qui parvient à la moelle épinière, de la, si le stimulus est trop important, réaction réflexe, et quelle que soit l'intensite, achemination de l'influx jusqu'à l'encéphale. mais maintenant, si tu dois aussi schématiser le changement de polarité du aux échanges ioniques, puis que tu dois aussi faire le récepteur et la manière dont,il estvstimulé, ça devient long