Relations amoureuses

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Nesis

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Ricard best membre

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Weby

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21 avril 2012, 20:55
Merde Nesis, je sais pas si je dois être le petit cochon rose gay ou le gros ours obèse.

Joey Wheeler

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Shining

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21 avril 2012, 22:09
Welcome back Nosbar.

Retrosasu

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21 avril 2012, 22:10
Clair, rebienvenue à toi.

Antvibe

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Tєh-єiмє

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27 avril 2012, 13:58
je sais pas trop où demander ça mais quelqu'un pourrait-il m'expliquer ce qu'il y a de vraiment mal à sortir avec son/sa meilleur(e) ami(e)?

Carreaux

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27 avril 2012, 13:59
je sais pas trop où demander ça mais quelqu'un pourrait-il m'expliquer ce qu'il y a de vraiment mal à sortir avec son/sa meilleur(e) ami(e)?

c degueu

Castho

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Tєh-єiмє

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27 avril 2012, 14:15
ui mais sortir avec une fille c'est déjà degueu alors y'a quoi de pire

faer

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27 avril 2012, 15:17
Parce qu'il y a plus de choses intéressantes à faire en intérieur.

Djaän

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27 avril 2012, 17:05
Si ça termine mal, tu es niqué sur les deux plans. Amical et sentimental.

Skarm

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29 avril 2012, 18:35
"Alors que Saint-Loup, par de subtiles digressions parvenait à faire glisser la conversation vers ce qu'il affectait tout récemment d'appeler son "idéal d'ironie shakespearienne", une de ces hypothétiques lueurs n'émergeant que chez des demi-esprits, laquelle leur met en tête qu'elle embellit tout leur être, lorsqu'il déclama avec la plus grande peine pour retenir l'orgueil qu'une telle idée fusse née au sein d'un "génie" en devenir, qu'il tiendrait d'un snobisme supérieur que de vivre sa première jeunesse pourvu de toutes les qualités d'un homme du monde raffiné, vêtu avec le plus grand soin et demandé dans les chambres de dames prestigieuses, néanmoins en demeurant chaste par-delà toute épreuve. En faisant abstraction de la médiocrité du ton, de la vanité d'un idéal trop typé d'un homosexuel en quête de sainteté, je ne pouvais m'empêcher de trouver là un concept novateur, confirmant l'objet de mes dernières réminiscences desquelles l'on concevrait qu'un homme puisse vivre par l'apparence passant outre le désir de possession physique, par la seule force d'une imagination salvatrice"  

Marcel Proust, Du Côté de Guermantes

Qu'en pensez-vous ? Nous promettons aux élu-e-s de la beauté physique y adjoignant l'esprit et tous les signes, postures attrayants à l'autre sexe un parcours sentimental jonché de danaïdes et Apollons épanchés ; mais un raffinement poussé ne conduit-il pas au mépris de la sensualité ? supplantée par l'amour du beau et des Idées, condamnant le fin esthète à une crypto-catharsis, au summum de l'abandon des atouts qui lui sont impartis.
Je ne me réclamerai pas de cet idéal qui est vraiment trop "gay", néanmoins il paraît être l'aboutissement dernier de l'esthétisme (toutefois lorsqu'il s'est absout de tout arrière-goût de frustration) et du complexe de la "belle âme". Ca expliquerai pourquoi tant de mecs trop bien habillés chopent si rarement.
« Modifié: 29 avril 2012, 20:30 par Skarm »

Lew

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29 avril 2012, 18:48
tu écris n'importe quoi et n'importe comment
+ les vêtements ne sont qu'un des facteurs de l'attraction : ça marche parfois, parfois il faut d'autres facteurs et parfois même il n'y en a pas besoin

Skarm

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29 avril 2012, 19:49
Je sais bien que les vêtements ne sont qu'un élément, pas forcément indispensable. Je parle surtout d'un point où l'habit reflète réellement une sorte de religion du beau du porteur, donc radicalement différent d'une vision type Spikesed, et la remarque revenait quelques fois sur Modissimo & autres forums de mode.
« Modifié: 29 avril 2012, 20:32 par Skarm »

Kotaro

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29 avril 2012, 20:11
Qu'en pensez-vous ? Nous promettons aux élu-e-s de la beauté physique y adjoignant l'esprit et tous les signes, postures attrayants à l'autre sexe un parcours sentimental jonché de danaïdes et Apollons épanchés ; mais un raffinement poussé ne conduit-il pas au mépris de la sensualité ? supplantée par l'amour du beau et des Idées, condamnant le fin esthète à une crypto-catharsis, au summum de la non-concrétisation des atouts qui lui sont impartis.
Je ne me réclame pas de cet idéal qui m'est vraiment trop "gay" , néanmoins il paraît être l'aboutissement dernier de l'esthétisme (toutefois lorsqu'il s'est absout de tout arrière-goût de frustration) et du complexe de la "belle âme". Ca expliquerai pourquoi tant de mecs trop bien habillés chopent si rarement.

Mdrrrr le faux lyricisme

Magus

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29 avril 2012, 21:01
Skarm a raison.

Pour chopper, ne faites pas du vêtement un art, le vêtement est votre seconde peau, vous n'êtes pas une oeuvre d'art. Habillez vous comme les autres, en mieux ;)

faer

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29 avril 2012, 22:57
tu écris n'importe quoi et n'importe comment
+ les vêtements ne sont qu'un des facteurs de l'attraction : ça marche parfois, parfois il faut d'autres facteurs et parfois même il n'y en a pas besoin

T'es grave méprisant et en plus tu comprends pas, c'est chaud.

Shogunner

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29 avril 2012, 23:19
*lafouinevoice* ayez un minimum de swaaaaaag !

Lew

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30 avril 2012, 00:01
T'es grave méprisant et en plus tu comprends pas, c'est chaud.

syntaxe malmenée, fautes de conjugaison, impropriété des termes ("crypto-catharsis", "épanchés")
c'est suffisant pour dire que c'est "n'importe quoi" écrit "n'importe comment", surtout à côté de Proust
après, j'ai répondu à l'idée donc merci

faer

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30 avril 2012, 00:11
N'importe comment, je veux bien, mais n'importe quoi, je vois pas en quoi.

Lew

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30 avril 2012, 01:07
tu ne fais pas de sens avec des termes impropres
mais effectivement, dans sa paraphrase maladroite de Proust, qu'il axait à la fin prioritairement sur les vêtements, je disais que c'était un facteur en général non négligeable sans être le facteur absolu

et pour Proust, quand on lit le reste de son oeuvre, on voit que les bonnes manières, l'art de la conversation, la galanterie et toutes ces marques artificielles qui servent à doper l'attraction sont questionnées comme étant ou non nécessaires
à mon sens elles en font partie : accorder de l'intérêt et du soin à sa tenue, qu'il s'agisse de son corps (prendre soin de sa peau, se muscler, au-delà de la santé et de l'hygiène de vie mais pour l'apparence), des vêtements (et de leur coupe, des matériaux, de l'agencement, du côté exclusif comme disait Konrad), du ton de la voix, des manières à table ou en société, etc. c'est montrer une volonté d'améliorer sa compagnie en société et d'afficher sa capacité à jouer de l'apparence

après évidemment, il doit y avoir nécessairement d'autres facteurs mais qui sont souvent liés : de l'intelligence vient l'art de la conversation et l'esprit qui y est lié, de la gentillesse vient le côté agréable de la compagnie, à quoi doivent s'ajouter d'autres qualités plus profondes (par opposition à d'apparence)
ça dépend si on conçoit la séduction comme un rituel social qui impose de l'apparence sans pour autant s'y réduire, et c'est mon cas, ou si on imagine l'amour comme une alchimie qui repose sur le hasard, les astres, etc.

faer

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30 avril 2012, 01:37
Bah si, même un raté a du sens, m'enfin.
Sinon il me semble justement que ce que pointe Proust c'est la conséquence d'un sur-codage des manières d'être et de faire, qui fait qu'on peut finir par prendre un moyen pour une fin. Ici, précisément, c'est l'attitude de séduction (sens large) en société, qui trouve son aboutissement en elle-même. Son effectuation se trouve dans la posture de séduction même, et non dans l'appropriation physique qui découle de la conquête. Si on fait les fous, on peut même relayer ça à l'art pour l'art, thème d'époque s'il en est. Le problème que soulève Skarm, je pense, est donc l'apparente impuissance de l'esthète qui se fige dans une sorte d'auto-contemplation.

L'index du patron

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30 avril 2012, 01:54
J'ai réalisé ce matin que ça faisait 3 mois. Ça parait peu dit ici, mais quand je l'ai sorti à deux-trois personnes que je vois souvent et qui me demandaient, c'était une surprise.
J'ai l'impression que je sors avec lui depuis beaucoup plus longtemps et en même temps ça passe vite. C'est space. Mais je pensais pas trouver quelqu'un qui me ressemble autant, et quand tu te dis que t'es dans la même école depuis 10 ans, que tu te rappelles de lui en CE1 et que t'aurais jamais cru sortir avec lui, je trouve ça génial, surtout que j'ai toujours été la première à dire 'le lycée c'est nul attends l'université gnangnangnan'. Bref je suis sur ma bulle.
Et en plus d'un copain je me suis trouvée une super bande de potes, je suis entrée dans leur cercle en sortant avec lui et depuis on est tous super tight.

Dire que jusqu'en Décembre je suis pas sortie une seule fois de chez moi pour des sorties quelconques, ça me choque de voir tout ce que je fais maintenant. So much freakin' evolution.

Lew

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30 avril 2012, 10:17
faer oui, c'est pour ça que je dis que Proust pose la question de la nécessité (au sens aristotélicien pour être rigoureux dans les termes) de l'apparence qu'il aborde tellement dans l'ensemble de son oeuvre qu'on voit que ça lui était important, mais qu'il met dans cet extrait précis en doute et qu'il pointe comme tendant à devenir "fin" plutôt que "moyen", on est 200% d'accord

et c'est aussi pour ça que je dis qu'il faut qu'il y ait des qualités "profondes" qui permettent un vrai attachement à la personne qu'on séduit
par rituel social, j'entendais justement le jeu sur l'apparence, le codage un peu hérité de l'amour galant, qui entre en jeu dans la séduction mais évidemment, il faut garder à l'esprit que séduire n'est pas en soi une finalité, encore une fois

mais pour aller plus loin que Proust et comme ça a été développé dans le reste du siècle, on séduit pour trouver en l'autre un miroir de soi et une altérité, aussi paradoxal que ça soit : on cherche une image sociale dans l'autre (en tant que notre femme devient une part de notre apparence), on se voit aussi à travers les yeux de l'autre (ce que notre femme cherche elle aussi en nous participe à notre définition et nous permet de nous auto-contempler quant aux critères constitutifs de cette définition) et on cherche également l'altérité dans l'autre, parce que c'est là que de manière générale réside la clé pour "évoluer" au sens vulgaire donc d'autant plus dans une relation intime - au finale, tout est question de dosage entre apparence et profondeur, le premier ne pouvant pas être en excès contrairement au second

« Modifié: 30 avril 2012, 10:19 par Lew »

Ivy Maital

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30 avril 2012, 12:21
Dire que jusqu'en Décembre je suis pas sortie une seule fois de chez moi pour des sorties quelconques

Merci pour nous  >:(

 :-[

faer

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30 avril 2012, 12:48
faer oui, c'est pour ça que je dis que Proust pose la question de la nécessité (au sens aristotélicien pour être rigoureux dans les termes) de l'apparence qu'il aborde tellement dans l'ensemble de son oeuvre qu'on voit que ça lui était important, mais qu'il met dans cet extrait précis en doute et qu'il pointe comme tendant à devenir "fin" plutôt que "moyen", on est 200% d'accord

et c'est aussi pour ça que je dis qu'il faut qu'il y ait des qualités "profondes" qui permettent un vrai attachement à la personne qu'on séduit
par rituel social, j'entendais justement le jeu sur l'apparence, le codage un peu hérité de l'amour galant, qui entre en jeu dans la séduction mais évidemment, il faut garder à l'esprit que séduire n'est pas en soi une finalité, encore une fois

mais pour aller plus loin que Proust et comme ça a été développé dans le reste du siècle, on séduit pour trouver en l'autre un miroir de soi et une altérité, aussi paradoxal que ça soit : on cherche une image sociale dans l'autre (en tant que notre femme devient une part de notre apparence), on se voit aussi à travers les yeux de l'autre (ce que notre femme cherche elle aussi en nous participe à notre définition et nous permet de nous auto-contempler quant aux critères constitutifs de cette définition) et on cherche également l'altérité dans l'autre, parce que c'est là que de manière générale réside la clé pour "évoluer" au sens vulgaire donc d'autant plus dans une relation intime - au finale, tout est question de dosage entre apparence et profondeur, le premier ne pouvant pas être en excès contrairement au second



Oui, donc ce que tu développes dans ton dernier paragraphe ne perce pas, si je peux m'exprimer ainsi, l'attitude esthétique évoquée par Skarm. Prendre femme devient un jeu de plus venant se greffer à l'apparat, donc un atout de séduction supplémentaire. Pour dire les choses crument, ce qui n'est plus nécessaire ici c'est de baiser. Le problème se trouve dans le passage de la séduction (quand elle est régie par une certaine esthétique) à la sensualité. Est-ce que l'esthétique pure, qui trouve son compte dans la contemplation et donc dans la négation du vouloir, peut supporter la sensualité alors que celle-ci est, par essence, passion et action ? On sera bien embêté pour répondre, parce qu'on se rend vite compte qu'il n'y a pas de rapport de subsomption entre l'attitude esthétique de séduction et sa concrétisation sensuelle. On peut dire que le passage entre les deux est distinctement qualitatif. Il n'y a donc pas, en fait, de profondeur dans la conception décrite par Proust, tout est polarisé à la surface. Je ne parlerai pas de l'ensemble de l'oeuvre de Proust, que je n'ai pas lu, mais dans ce passage, il n'y a précisément plus de synthèse possible qui dégagerait, par une sorte de dialectique de l'apparence et de la profondeur, une voie efficace pouvant réconcilier l'esthète avec la sensualité. Il y a nettement rupture, quitte à poser la question, justement, de la possibilité d'une telle vie, qui semble témoigner de la puissance salvatrice de l'imagination (qui, paradoxalement, peut être considérée comme un attribut de la sensibilité).
« Modifié: 30 avril 2012, 12:52 par faer »

Skarm

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01 mai 2012, 00:31
@Konrad : Je n'espère pas lancer de sujet subalterne ; mais même si je reconnais la vérité générale de la formule, je ne la tiendrai pas personnellement pour maxime. Quand on veut tenir le vêtir pour un art à part entière, et d'autant plus qu'il n'est pas absolument nécessaire à la séduction, on ne peut pas vraiment supporter de le voir galvaudé à ces fins en ce qui concerne notre apparence particulière.

faer a parfaitement souligné un point, le saut qualitatif se fait bientôt trop grand dans une conscience élevée, entre le suranné et la baise, pour poursuivre une dialectique sans aliénation ; mais c'est une figure loin d'être figée, j'ajouterai que de ce fait la dialectique passe d'autant plus dans un rapport libéré de l'étrangèreté, qu'elle effectue son retour à soi ultime dans la beauté. C'est ainsi que l'apparence en vient définitivement à ne plus être valorisée par le truchement de l'extériorité mondaine (et donc de l'alter ego que tu as évoqué Lew), mais à "tenir toute seule" comme se doit une oeuvre d'art : elle n'est plus là pour être jugée en salon mais s'est vue dotée de la consistance du sujet qui la porte sous l'égide d'une idée suprême. Bref je serais très tenté d'affirmer qu'on se méprend sur ce qui est dans le procès de séduction moyen et/ou fin, et que dans un esprit platonicien si l'apparence est premier moyen de la conquête, celle-ci n'est pas vraiment fin mais second moyen par-delà laquelle nous retrouverons le premier terme magnifié, en faisant l'enjeu véritable, à la fois moyen et fin.

Ce que je voulais dire à propos de la condition de l'esthète va dans ce sens. Il ne s'agit ni d'une inaptitude constatée a posteriori, ni d'un glissement incontrôlé de la médiation séductrice vers un absolu vide, mais d'un détournement conscient de tous les attributs de l'apparence à des fins individuelles. C'est là le sens subversif, presque catharsique : le raffiné apparaîtrait au mondain comme un milliardaire menant une vie modeste à l'ambitieux ; il en fait fi par un coup d'éclat exemplaire et dédaigneux qui brise les conventions sur l'utilité sociale de la parure pour mieux révéler son essence. Plus il y a de ça dans tout art usant d'un medium initialement rattaché à ce genre de fonction. Une foule de petits personnages dandy-esques dans la Recherche incarnent cet idéal (même Swann un temps), ils jouent allègrement de la séduction mais au fond la méprisent, ont pleine conscience de ce qu'ils visent à travers elle ; mais JAMAIS elle ne vaut en soi.

Citer
ça dépend si on conçoit la séduction comme un rituel social qui impose de l'apparence sans pour autant s'y réduire, et c'est mon cas


Très juste, et c'est en fait la problématique de tout un chacun. Seul un esthète peut avoir une vision plus fine et autre de la chose, donc je réfléchis sur un cas certes intéressant mais quasiment inexistant de nos jours ;D




« Modifié: 01 mai 2012, 01:23 par Skarm »

L'index du patron

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01 mai 2012, 01:14
Dire que jusqu'en Décembre je suis pas sortie une seule fois de chez moi pour des sorties quelconques

Merci pour nous  >:(

 :-[
De quoi tu parles bébé, je viens pour vous en France, tu restes dans mon cœur <3 ! :o

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